Satyre III

Dans le train où j'ai pris place ce dimanche après-midi, une femme, quelconque : ni belle , ni laide, d'un âge frisant la quarantaine passée, brune et chevelure attachée, sexy à souhait, avec ses yeux de biche, me regardait intensément, défiant son mec, en cachette- mais je dirais qu'ils se sont entendus pour jouer avec moi. ( cela n'enlèverait rien à mon excitation et mon ravissement devant cette créature passionnément intéressante par sa luxure). En me regardant, elle a commencé à ôter son manteau puis une sorte de gilet pour garder juste son corsage qui laisse ses bras et ses épaules nus, plus une grosse partie de sa poitrine. Mon dieu, je me suis transformé en voyeur. Toujours me regardait-elle comme une affamée du sexe. Son mec assis, indifférent. Il attend que sa proie finisse de se dévêtir pour lui. De mon côté, l'excitation était à son comble, et lui tranquillement, commença, une fois libre et prête, à la tripoter et lui rouler des pelles.je vaquais à mes fonctions- je continuais à boire ma bière et lire mon bouquin : " Le Portrait de Dorian GRAY"-en les matant discrètement mais avec dans les yeux une attirance suffisante pour me procurer un désir et une érection des plus forts. Voici le résultat quand je me suis testé. J'étais étonné de découvrir à telle point ma bite pouvait aller en turgescence. Énorme ! N'est-ce pas ?